BECQUIN


Origines

BECQUIN (Besquin) – 1491 à Pontarlier avec Jehan Besquin qui prend en accensement du prieuré de Pontarlier un journal de terre. Quand, en 1661, Henriette Becquin épouse Étienne Simon à Pontarlier, le potier Claude Titus vend aux invités aux noces: «deux chandeliers, une aiguiere, une saliere, un vinaigrier, un pot de channe et une demie douzaine d’assiettes d’estain pour les donner en etrenne à ladite Henriette comme l’on en a coustume faire dans la ville de Pontarlier lorsqu’il se marie une fille». Dans les années 1670, maître Hugue Becquin travaille le cuir, il est cité tantôt comme cordonnier, tantôt comme tanneur. En 1553 à Métabief, Claude Becquin est «venu gendre » de Georges Gauthier1


Faits-divers

Saisie sur les biens propres de feue Henriette Becquin à Pontarlier en 1682. Son mari justifie que les objets en question étaient des biens propres de sa femme.

Détails des faits mentionnés dans la notice précédente.

Le neuvième témoin raconte :

Claude Titus, de Pontarlier, pothier, 51 ans en 1661 il vendit tant à quelques jeunes hommes qu’à d’autres  personnes invitées aux nopces de Estienne  Symon produisant avec Henriette Becquin, deux chandeliers, une aiguière, une saliere,,  un vinaigrier un pot de channe et une demie douzaine d’assiettes d’estaint pour les donner en etrenne à ladite Henriette Becquin à son vivant fille de Sylvestre Becquin comme l’on en a coustume faire dans cette ville de Pontarlier lorsqu’il se marie quelque fille, et assure que ces meubles sont les mesmes qu’il a veu dans la maison d’Hugues Praslon le 22 mai 1681 les quels on dispute cette par par recreance qui ont été gagés à la part des deffendeurs.


Dictionnaire des patronymes

  1. Christian Monneret, Histoire des noms de famille du Haut-Doubs. ↩︎