AMIOT


AMIOT (AMYOT) – 1482 à Morteau avec Claude Amyot, marchand drapier, qui achète une maison à Pontarlier; 1438 au Luhier; 1487 à Montbéliardot; 1520 à Épenouse; 1529 à Fuans. Au début du XVIe siècle, Amyot est un prénom encore bien usité dans certains villages du plateau de Vercel et c’est précisément dans cette région que l’on note les premières mentions du patronyme. Les Amyot de Morteau sont bien localisés aux Arces, où plusieurs générations de maréchaux se succédèrent, qui mènent jusqu’à Emmanuel, artiste vétérinaire sous l’Empire. D’autres Amyot apparaissent avec Guillaume Amyot, 1633- 1662, originaire d’Ornans, qui s’installe à Morteau après son mariage à Besançon en 1652 avec Françoise Abryot, de la Grand’ville (Morteau). Il est chirurgien et Jean Mercier de Morteau, résidant à Besançon, procureur et notaire, qui en 1658, faisait sa rhétorique à Besançon, témoigne qu’il alla à Morteau en septembre où: «il connut Guillaume Amyot maître chirurgien, Françoise Abryot sa femme, se souvient bien que ledit Amyot avait mis son bassin d’étain devant la maison où il rési- dait ». Il quitta Morteau pour aller mourir en Allemagne.1

Généalogie des AMIOT dans ma base Geneanet

Généalogie des AMYOT dans ma base Geneanet

Les Amiot dans les faits-divers (à venir)

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  1. Christian Monneret, Histoire des noms de famille du Haut-Doubs, op. cité. ↩︎